Far away from Biohazard
Far away from Biohazard
Juste une autre contamination…
Partie I: Dead Dead West.
-“Descend de ton boeuf gros lard!”
Cela faisait longtemps que Jay et Bob n’avaient pas intercepté un « client » en plein désert du nouveau Mexique. Ils avaient une planque non loin de là où ils se faisaient oublier depuis le braquage de la first national bank. Ils avaient vu de loin arriver un type tout de gris vêtu, le stetson enfoncé sur les yeux, avançant lentement sur un énorme cheval, une bête gigantesque comme ils n’en avaient vu qu’une fois sur une illustration présentant des chevaux de montagne Européen. Ils pointaient tout les deux leurs fusils sur l’étranger en gris, une couleur que plus personne n’osait pourtant porté depuis 2 mois, depuis ce 9 avril 1865 où Grant reçut la réddition de Lee.
L’étranger avait toujours la tête baissée, les mains sur la bride, le vent faisant voler son imperméable de toile.
Bob resta en arrière, tenant l’homme en gris en joue tandis que Jay allait fouiller sa victime toujours sur sa monture. Il trouva 2 armes sur l’inconnu, un 22 Long rifle et un 9 MM, sur la crosse du premier Jay pu y lire « soft » et sur l’autre : « Heavy ».
-Qu’est ce que c’est que cette connerie ? » Jay se retourna vers son complice. Une lueur éblouit Bob. Jay tituba…Sa tête tomba aux pieds de Bob….Ce dernier releva la tête vers l’inconnu qui tenait un sabre à la main, il eu à peine le temps de lever son fusil qu’il senti le froid de la lame entrer dans sa gorge.
L’homme descendit de cheval, récupéra ses armes, essuya la lame de son sabre sur le cadavre de Jay et le replaça dans son fourreau attaché à son dos.
13 Juin 1865, Corpus Christi, Texas
L’homme en gris entra dans la villa « Rockport », il savait juste qu’il avait rendez vous avec un certain Mannesmann.
« C’est seulement maintenant que vous arrivez ? » Il sursauta, derrière lui se tenait un petit homme rondouillard, dégarni en costume de ville. « Vous êtes venu à pied ou quoi ? »
Il le conduisit jusqu’à son bureau et le fit s’asseoir. Mannesmann sortit un lourd dossier d’un tiroir et fixa l’homme en gris.
-« Retirez votre chapeau pour voir. »
L’homme en gris s’exécuta. Mannesmann reprit.
-« Steven Reinhardt, né Stéphane Reinhardt, vos parents sont originaires de France. Vous avez été élevé à Boston, engagé dans la marine vous avez accompagné le commodore Matthew Perry au Japon le 8 Juillet 1853 vous êtes reparti avec un guerrier local qui vous a enseigné l’art du sabre, c’est bien cela ? »
Stéphane acquiesça.
-« Vous avez ensuite combattu au cotés du Général Lee n’est ce pas ? »
-« Venez en aux faits…. »
Mannesmann sourit.
-« La guerre est terminée mais vous ne serez jamais tranquille et vous le savez. Le pays a perdu le seul homme qui pouvait lui apporter la stabilité le 14 avril dernier. Nous avons un marché à vous proposer à vous et à 4 autres ex soldats aussi bien notés que vous. Nous vous offrons une nouvelle vie, une nouvelle identité si vous nous aidez à gagner une autre guerre. Une guerre dont l’enjeu pourrait être terrible non seulement pour le pays mais pour le monde entier. »
Stéphane sourit.
Juste une autre contamination…
Partie I: Dead Dead West.
-“Descend de ton boeuf gros lard!”
Cela faisait longtemps que Jay et Bob n’avaient pas intercepté un « client » en plein désert du nouveau Mexique. Ils avaient une planque non loin de là où ils se faisaient oublier depuis le braquage de la first national bank. Ils avaient vu de loin arriver un type tout de gris vêtu, le stetson enfoncé sur les yeux, avançant lentement sur un énorme cheval, une bête gigantesque comme ils n’en avaient vu qu’une fois sur une illustration présentant des chevaux de montagne Européen. Ils pointaient tout les deux leurs fusils sur l’étranger en gris, une couleur que plus personne n’osait pourtant porté depuis 2 mois, depuis ce 9 avril 1865 où Grant reçut la réddition de Lee.
L’étranger avait toujours la tête baissée, les mains sur la bride, le vent faisant voler son imperméable de toile.
Bob resta en arrière, tenant l’homme en gris en joue tandis que Jay allait fouiller sa victime toujours sur sa monture. Il trouva 2 armes sur l’inconnu, un 22 Long rifle et un 9 MM, sur la crosse du premier Jay pu y lire « soft » et sur l’autre : « Heavy ».
-Qu’est ce que c’est que cette connerie ? » Jay se retourna vers son complice. Une lueur éblouit Bob. Jay tituba…Sa tête tomba aux pieds de Bob….Ce dernier releva la tête vers l’inconnu qui tenait un sabre à la main, il eu à peine le temps de lever son fusil qu’il senti le froid de la lame entrer dans sa gorge.
L’homme descendit de cheval, récupéra ses armes, essuya la lame de son sabre sur le cadavre de Jay et le replaça dans son fourreau attaché à son dos.
13 Juin 1865, Corpus Christi, Texas
L’homme en gris entra dans la villa « Rockport », il savait juste qu’il avait rendez vous avec un certain Mannesmann.
« C’est seulement maintenant que vous arrivez ? » Il sursauta, derrière lui se tenait un petit homme rondouillard, dégarni en costume de ville. « Vous êtes venu à pied ou quoi ? »
Il le conduisit jusqu’à son bureau et le fit s’asseoir. Mannesmann sortit un lourd dossier d’un tiroir et fixa l’homme en gris.
-« Retirez votre chapeau pour voir. »
L’homme en gris s’exécuta. Mannesmann reprit.
-« Steven Reinhardt, né Stéphane Reinhardt, vos parents sont originaires de France. Vous avez été élevé à Boston, engagé dans la marine vous avez accompagné le commodore Matthew Perry au Japon le 8 Juillet 1853 vous êtes reparti avec un guerrier local qui vous a enseigné l’art du sabre, c’est bien cela ? »
Stéphane acquiesça.
-« Vous avez ensuite combattu au cotés du Général Lee n’est ce pas ? »
-« Venez en aux faits…. »
Mannesmann sourit.
-« La guerre est terminée mais vous ne serez jamais tranquille et vous le savez. Le pays a perdu le seul homme qui pouvait lui apporter la stabilité le 14 avril dernier. Nous avons un marché à vous proposer à vous et à 4 autres ex soldats aussi bien notés que vous. Nous vous offrons une nouvelle vie, une nouvelle identité si vous nous aidez à gagner une autre guerre. Une guerre dont l’enjeu pourrait être terrible non seulement pour le pays mais pour le monde entier. »
Stéphane sourit.